Enzo Fernandez, milieu de terrain argentin, a révélé que ce qui s'est passé avec Kylian Mbappé lors de la finale de la Coupe du monde 2022 fait partie du passé désormais.
Il y a quelques jours, Cuti Romero a avoué avoir célébré au visage du Français Kylian Mbappé parce qu'il avait insulté Enzo Fernandez, milieu de terrain de l'équipe nationale d'Argentine. C'est maintenant au tour de l'ancien joueur de Benfica de parler de ce qui s'est passé.
"Nous nous sommes un peu disputés sur le terrain. Je n'aime pas parler de ce qui s'est passé. Il avait dit certaines choses, mais cela reste sur le terrain... C'est un grand joueur, un exemple pour tout le monde. Au niveau mondial, il se débrouille très bien et il a encore beaucoup à donner",
Il a été interviewé par le journaliste de TyC Sports Gaston Edul.
Le joueur argentin, qui à seulement 22 ans est déjà la recrue la plus chère de l'histoire, n'est pas tombé dans le jeu de Donatello, qui voulait le sortir du match avec des insultes. Il n'est pas rancunier car, de son point de vue, ce sont des choses qui se passent sur le terrain et c'est là qu'elles restent.
Sur sa convocation à la Coupe du monde, il a déclaré l'avoir appris une semaine avant. "J'ai commencé à pleurer", a-t-il ajouté.
Au début, il n'était pas titulaire, mais les circonstances ont amené Lionel Scaloni à lui donner l'opportunité de commencer contre le Mexique et il a répondu par un grand but. Le jeu a commencé par un corner tiré par Messi, mais il a donné du crédit à quelqu'un qui a conçu le "plan" : Lionel Messi.
"Avant le corner, Leo m'a dit d'aller jouer. Quand je l'ai reçu, un défenseur était devant moi, je lui ai fait face et j'ai touché le but. Alors que je fêtais le but, Messi est venu me serrer dans ses bras comme pour me dire 'tu as vu ce que je t'ai dit, fils de pute... C'était très excitant",
Il a dit avec un sourire.
Il a profité de ce moment pour dédier quelques mots au capitaine de l'équipe nationale argentine :
" Chaque fois que je parle de Messi, j'ai toujours la chair de poule. Je le remercie pour la façon dont il est en tant que personne, avec moi et avec tout le monde. Il n'y a plus de mots pour dire ce qu'il fait pour tous les Argentins",
a conclu le milieu de terrain de River Plate.
Dibu l'a conseillé mais Enzo Fernández ne l'a pas écouté
Malgré le bon moment qu'il a vécu, tout n'était pas rose. Lors de la séance de tirs au but du quart de finale contre les Pays-Bas, il a eu l'occasion de tirer le penalty et l'a manqué. Fernandez a révélé que son gardien Emiliano Martinez, ou Dibu, lui avait donné la clé pour marquer, mais il a suivi son instinct.
"La veille, nous avions pratiqué le croisement à l'entraînement et Dibu Martinez m'a conseillé de frapper au milieu. Je lui ai demandé où c'était le plus difficile pour le gardien de but et il m'a dit qu'ils le jouaient toujours et qu'il fallait frapper au milieu, que ça rentrerait. Toute ma vie, j'ai toujours tiré au centre, mais je les ai ratés. C'est arrivé pour une raison,
a souligné le meilleur jeune joueur du tournoi.
En finale, il aurait pu être pris en compte, mais le moment de se justifier n'est pas arrivé. À propos de cette situation, il a dit que Scaloni ne lui avait pas demandé s'il voulait tirer et que le cinquième devait être Lautaro Martínez, mais que Gonzalo Montiel était chargé de terminer les actions au quatrième penalty.
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Spécialiste du foot sud-américain et notamment de la Copa Libertadores, Damien ne dort pas beaucoup la nuit, car il regarde le plus de matchs sud-américains possibles, et notamment tous ceux de Boca Juniors. Berçé depuis toujours par les exploits d'Angel Di Maria, il n'hésite pas à imiter son iconique célébration dès qu'il marque le week-end.
Équipe favorite : Boca Junior
Joueur préféré : Angel Di Maria