L'ex coach de l'OM a refusé un top club européen !

Actuellement, l'entraîneur asturien n'est à la tête d'aucune équipe. Son dernier club était l'Olympique de Marseille, qu'il a quitté de manière inattendue après seulement sept matches.

Depuis le limogeage de Mendilibar à Séville, dans les couloirs du club, le nom de García Toral a été évoqué pour reprendre en main l'équipe. Marcelino l'a fait savoir :

"C'était pour une saison et l'autre fois, quand j'étais là, j'ai vu que les projets à long terme sont ceux qui ont une réalité",

en référence à la période où il a travaillé avec les Sévillans, d'août 2011 à février 2012.

Malgré le refus, Marcelino se réjouit de son retour sur le banc de touche et est prêt à s'engager dans tout projet solvable et attractif qui lui sera proposé.

Un autre entraîneur qui a suscité l'intérêt de José Castro, Del Nido Carrasco et Victor Orta était l'Uruguayen Diego Alonso qui va enfin prendre en charge le club de Nervión. Un entraîneur qui connaît le championnat espagnol dans ses moindres détails et qui a attiré l'attention du conseil d'administration de Séville après les demandes de l'Asturien.

Autres propositions pour Marcelino : Arabie Saoudite et Luis Rubiales

Dans la même émission de la Cadena COPE, Marcelino a avoué qu'il avait lui aussi reçu des offres de l'Arabie, mais la vision sportive de l'entraîneur espagnol ne correspondait pas à la proposition saoudienne et il a fini par la rejeter.

On ne peut jamais dire "je ne boirai pas de cette eau". On attend toujours une offre où l'aspect sportif prévaut".

a-t-il noté.

L'ancien entraîneur de Séville a également précisé qu'il n'a jamais reçu d'offres pour l'équipe nationale espagnole. Il a plutôt expliqué que son agent avait eu quelques conversations avant la Coupe du monde. Cependant, Marcelino n'a jamais eu de conversations directes avec Luis Rubiales ou qui que ce soit d'autre au sein de la Fédération.

En ce qui concerne son avenir, il a fait savoir qu'il était impatient d'entraîner à l'étranger parce que "les années passent".

"Il est difficile de planifier l'avenir. Nous avons déjà eu quelques options. Nous devons être prudents et attendre un projet sérieux.

a déclaré Marcelino, qui a également travaillé pour des clubs tels que Valence, Villarreal et l'Athletic.

Départ de Marseille

Marcelino s'est également entretenu avec Juanma Castaño au sujet de la controverse sur l'Olympique de Marseille. Un départ prématuré de l'entraîneur asturien pour les menaces sur le conseil d'administration du club. Cette situation rend les conditions de travail de l'équipe d'entraîneurs difficiles.

"Les ultras nous demandaient de quitter le club, que le président et le conseil d'administration devaient partir, et que s'ils ne le faisaient pas, ils en subiraient les conséquences. C'est ce que m'a dit le président, Pablo Longoria, qui est toujours là parce qu'après quelques jours de réflexion, bien qu'ils aient dit qu'ils partaient, ils ont reconsidéré leur position. Pablo m'a dit que c'était une grande responsabilité de laisser un club vide et que c'était un acte de considération pour ceux qui avaient pensé à lui".

il a expliqué.

Marcellino a déclaré que les groupes sont entrés dans le bureau du président et que ce qui était prévu comme un dialogue s'est transformé en menaces. Le chef des ultras a été contraint de quitter le club, a répété l'entraîneur.

L'Espagnol a décrit la situation comme étant sans précédent et a affirmé qu'il ne ressent aucun acte de trahison de la part de Pablo Longoria, qu'il considère également comme son ami, et comprend qu'il y a une raison pour laquelle il a décidé de rester au club.